On a parfois l’impression que chaque personne a sa définition, sans parler des différences de perception entre la France et la Québec.
La notion de rédaction ou d’écriture inclusive est assez large. D’ailleurs, on la désigne sous différents noms : langage inclusif, communication non sexiste, langage égalitaire, etc. Mais c’est l’expression « écriture inclusive » qui est la plus répandue, notamment dans les recherches sur Google. C’est un générique qui englobe d’autres notions.
On la définit comme « un ensemble de principes et de procédés favorisant l’inclusion et le respect de la diversité dans les textes et permettant d’éviter toute forme de discrimination, qu’elle soit fondée sur le sexe, le genre, l’orientation sexuelle, la race, l’origine ethnique, les handicaps ou tout autre facteur identitaire » (source : Portail linguistique du Canada).
Parmi les notions qu’elle englobe, notons la féminisation (qui vise à rendre les femmes plus visibles dans les textes), l’écriture épicène (qui vise à neutraliser le genre) et l’écriture non binaire (qui vise à représenter les personnes non binaires sans distinction de genre).
Il existe différentes stratégies en matière d’écriture inclusive. Elles s’appuient sur de nombreux procédés. Pour choisir l’approche qui vous convient le mieux, il vous faut d’abord déterminer vos objectifs et votre public cible.
Besoin d’aide pour y voir plus clair? J’offre des formations en entreprise ou en ligne.
Comments